En terre ravagée...

Quelqu'un avait tiré dans le métro. Trois clochard étaient morts. Milly avait pris ses jambes à son cou et partie en direction d'un coin ou elle pourrait se reposer le temps que les choses se tasse, qu'elle se calme. A nouveau seule dans cette ville de dingue, elle réussit à trouver un plan de la ville, mais ce qu'il représentait été bien évidement faux. Pourtant Milly voulu se diriger vers ce qui était un centre industriel. Il y aurait peut être quelques choses à manger? Elle mit trois heures à pied pour arriver au lieu voulu.

C'était un lieu vraiment déplorable, mais que fallait-il faire pour sauver des ruines? Rien... Milly rentra dans par un trou qui avait été fait par des balles. Un odeur nauséabonde se dégageait. Un odeur putride de besoin, de être vivant. Il y avait un mort dans ce lieu. Elle avança lentement, et se retrouva fasse à une créature gémissant, du moins c'était un souffle... La jeune hybride ne savait pas comment décrire cet créature. Mais bien qu'elle soit effrayante pour toute personne normale, Milly la trouvait belle et élégante. Un de ses yeux s'ouvrit, tandis qu'elle se rapprochait. Quand elle fut à sa hauteur, Milly s'agenouilla, et la toucha d'un doigt pas très sûre. C'était gluant... La créature était quasiment morte. Quand elle la vit, elle émit un grognement, puis parla doucement pour que seule Milly puisse l'entendre.

Hybride que tu es, tu es en danger ici. Il y a encore quelqu'un ici... il est caché, fait très attention, sale gamine. Méfie des ...

La bête ferma les yeux. Milly tremblait par ce qu'elle venait de dire, elle n'était pas comme elle... Par la simple pensée que cet créature s'était faite tué par des balles, cela lui dévorait les entrailles . Elle regarda les troues que la bête avait dans son corps. Puis se releva et chercha serrant les poings, cherchant quelques choses, rien de particulier.

Pendant une dizaine de minutes, elle ne trouva rien. Jusqu'à ce que sous une boite en bois, elle trouva un petit couteau, qui ressemblait presque à un poignard. Il était rouille mais était utilisable, elle arrivait à en faire quelque chose après l'avoir bien nettoyer. Elle gratta sur la lame et se rendit compte que ce n'était que de la pourriture, et qu'il fallait le passé sous l'eau pour que la lame brille. Satisfaite de sa découverte, elle le rangea dans un sac qu'elle avait volé en allant prendre des bijoux. Puis retournant à sa vadrouille, elle tomba sur une barre chocolaté. Comment avait-il fait pour que cela tienne autant. Le meurtrier avait du la faire tombé de sa poche en partant. Elle s'assit, caché derrière des boites, et ouvrit la barre, et sentant son odeur, très bonne. Milly ferma les yeux et la dégusta comme un plat paradisiaque qui se terminerait vite...

- Lucas commençait a avoir faim... Cette nuit il n'avait pas trouver d'abri et il avait du dormir dans le froid de la nuit... Il se sentait vraiment pas bien et il avait très faim. Lucas marchait depuis 2 heures sans savoir ou aller. Il était entrain de sortir de la métropole, et la ou il arrivait, la paysage était combler de veilles usine en ruine. Lucas espérait trouver a manger un petit quelque chose pour calmer sa faim. Lucas avait son simple fusil a pompe pour se servir de canne. Il continuait a avançait désespérant dans les ruines des veilles usines. Il rentra dans une usine, qui était un peux moins démolit que les autres, mais elle n’était quand même pas trop en état. Il fouilla pendant une dizaine de minute, en soulevant les vieux débris ou autres mais rien. Il n’avait rien a manger et il avait faim. Il allas dans l’autres usines qui était en face et quand il y rentra il fut surprit par une bête tout gluante qui était couché par terre. Lucas pointa son fusil a pompe sur elle. Il tapa du pied, mais la bête ne se retourna pas vers lui. Il avança de quatre pats et il vu que la bête était criblé de coup d’arme a feus. Elle était morte. Effectivement, Lucas vu des douilles d’Ak-47 un peux plus loin de la bêtes. Et juste a côtés de ces douilles se trouvait une gourde d’eau, et un paquet qui contenait deux biscuits. Lucas Boris avait de la chance !! La bouteille était pleine. Les deux gâteau et la bouteille devait appartenir aux meurtrier de la bêtes. Lucas sortit de l’usine, il avait déjà mangeait ces biscuits, et avait bu la moitié de sa bouteille. Il marchas discrètement sans trop faire de bruit, car le meurtrier de la bêtes devais peut-être se trouvait ici. Au loin, il vu une femme assise par terre. Lucas attacha la bouteille a sa ceinture, et il pointa son fusil a pompe en directions de la femme. D’après les douilles que Lucas avait vu, elle avait un Ak-47, alors il fallait qu’il fasse attentions. Il avait désormais son fusil a pompe pointait sur la femme et il cria. -

- On ne bouge plus !!! Donner moi votre arme. -

Milly était recroquevillée sur elle même, sa barre de chocolat entre les mains, le sourire jusqu'aux oreilles. C'était bon de manger sans l'avoir voler! On pouvait la comparer avec un petit animal qui garder entre ses mains, un objet précieux. Elle n'entendait pas les pas arriver vers elle, trop concentrer sur le peu qu'elle arrivait à avoir. Soudain une voix cria. Celle d'un homme, un homme qui avait une pointe effrayement dans la voix. La jeune femme en était la cause? Milly était si faible et fragile qu'elle ne pourrait faire de mal à une mouche. Elle mit dans sa bouche le reste de la barre et jeta son petit couteau sur le côté.Voilà donc l'arme qui était la plus dangereuse du monde, un petit couteau rouillé.

L'hybride se releva lentement et les mains en l'air, ses jambes flageolantes, son coeur emprisonnait par la peur, mais avec cette petite dose de courage qui faisait qu'elle pouvait se lever sans s'évanouir.

Je... je n'ai rien de dangereux! dit-elle la voix tremblante comme le reste de son corps. Ne me tuez pas, je vous en supplie!

Milly se retourna tout doucement pour ne pas faire de geste brusque, voyant des images défiler devant ses yeux, celle d'une avancer dans des couloirs étroits, blanc, des voix qui ne cessait de répéter qu'elle allait mourir si elle ne prenait pas sa dose de... Elle regarda la créature morte, et c'était d'un air de compassion qu'elle demanda.

C'est vous qui l'avez tué?